En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »
Je suis le bon berger,
Je connais mes brebis,
et mes brebis me connaissent.
Je suis le bon berger,
Je leur donne ma vie,
et toute ma tendresse.
1
Chacune de mes brebis
Reconnaît ma voix
Si je viens en pleine nuit,
Vite on m'ouvrira !
2
Mais si le portier s'endort
Dans ma bergerie,
Les pillards viendront alors
Voler mes brebis !
3
Mes brebis ne savent pas
Suivre un étranger,
Elles reconnaissent à la voix
Tous les faux bergers !
4
J'ai beaucoup d'autres brebis
Loin de cet enclos,
Je les conduirai ici
Avec mon troupeau.